Des aborigènes, en pleines cours,
Des courbettes en abondance, pour,
Un hold-up réussi, à l’hypnose,
Pour redessiner, la vie en rose.
Aspire et inspire, à la jeunesse,
Qu’elles aiment tes liasses, plus que ta pièce,
Tes sourires, tes baisers, en bonne franquette,
N’assombrira ton rôle, ton rôle en tête.
Les années passant, pas pour ton œil,
Toi et ton égo, ne feront deuil,
On ne changera pas, les équipes gagnantes,
Quels que soient les moyens, en arme déferlante.
Il use de ses billets, de ces guichets ouverts,
De toutes ces histoires qui, commencent par un verre,
Multipliant les risques, et les aventures,
Qui se termineront, beaucoup moins pures.
Dessous de cales, insalubres et noirs,
Contre vents et marées, mais sans parloir,
Le vert et la vie, prenant la fuite,
Pas l’ombre d’un remord à choisir son zénith.
Le pompiste empoche, contre toute arme,
Comme une odeur de fric, en plein vacarme,
Evitant les zigzagues, sur un sacro-saint mythe,
Un garrot sur les bourses, n’est pas un rite.
Pour mettre au placard, tes employés,
Provoque une bonne jachère, en plein été,
Et fais-de ta boîte, un champ de ruine,
Qu’il ne reste pas plus, de cimes que de racines.
L’avenir pour toi, est sans souci,
Ta vipère au poing, ton parachute garni,
Nouvelle route vers une terre, non encore labourée,
Sois solide, du liquide il ne va pas t’en manquer.
Refrain
Zappeur à vie, ambitieux programme,
Autour des bras, des chaînes, on te gave de réclames,
Tes journées sont bien longues, entachées de paresse,
Leurs fruits sont tes escarres, jusque sur les fesses.
Engraisse et engrosse, ce fond de cuve,
Qui par les temps qui courent, rempliront bien les urnes,
Ils s’isolent et désolent, se nourrissent au tonneau,
Permettent en quelques chèques, d’entretenir ton paquebot.
Tes émissions produites, à tour de bras,
A niveler encore, bien au plus bas,
Qu’un soit disant public, et que tes actes,
Aussi vrais qu’un sourire, présent sauf à l’entracte.
Sur toutes les chaînes, où tu trépasses,
Endors, amuse les troupes, par tes tours de passe-passe,
Profite sans pudeur, des pauvretés humaines,
En un claquement de doigts, des millions que tu sèmes.
Refrain
Un prophète jugé, par contumace,
Et dont les mots fantômes, riment à la farce,
En toutes langues les idées, traduites au forceps,
Vernies par le décor, qu’est une maison hôtesse.
Guide de routard en diagonale,
Panneaux d’idées mystiques, réputées bien et mal,
Parodie plus vendue, que tous les sitcoms,
Rassemblant les moutons, pour la farandole.
Communie ton jour de la semaine,
Prie pour que chacun, dorme devant l’autel,
En spoliant sans gêne, lors de l’offrande,
Après que tes histoires, soient bues sans comprendre.
Offre de l’espoir aux abusés,
Commande leur de boire, le sang des trompés,
Enfin partout narre-tout, ce qu’ils voudraient entendre,
En retour mange leur pain, après tout ils le tendent.
Refrain (x2)
Refrain :
Quand l’autre baille aux corneilles,
La pièce se joue, émerveille,
Il use du pendule, l’air qu’il balaye, il sait,
Que tout se monnaye.
Promettant monts et merveilles,
Casanier en sa caverne,
Bluffant d’art, il pique, mène au sommeil, il sait,
Que tout se monnaye.